dimanche 10 juillet 2011

La Grande Bataille de Notre Temps (3ème partie)

La Contre-attaque du Harad

De nouvelles forces ennemies montaient vivement la route venant du Fleuve ; de sous les murs s’avançaient les légions de Morgul ; des champs du Sud venaient des gens de pied de Harad précédés de cavaliers,



et derrière eux s’élevaient les énormes dos des mumakils portant des tours de guerre…

[D’autres] commencèrent à se déverser d’Osgiliath sur le champ de bataille : Orientaux armés de haches…
Suderons en écarlates,

et, de Far Harad, des hommes noirs semblables à des semi-trolls avec des yeux blancs et des langues rouges.




Grimbold mène l’infanterie du Rohan. Face à la masse de l’ennemi, il ordonne un déploiement en ligne afin de cribler au mieux les Mumak.
Le premier de pointe est férocement frappé par une nuée de flèches et subit 3 blessures, puis une formation de l’Ouestfolde s’élance droit sur lui. Les courageux combattants à pieds se savent condamnés, mais il faut impérativement que la ligne tienne, le temps qu’elle puisse se reformer face aux monstrueuses créatures et à la cavalerie rapide du Harad emmenée par Suladan.



Les hommes meurent, piétinés et déchiquetés par les cruelles défenses mais une nouvelle volée terrasse le Mumak !
Les Haradrims sur les howdahs ripostent dans ce duel à distance, plusieurs hommes du Nord s’écroulent sous les volées empoisonnées.

La cohorte de Mumaks forme une pointe blindée qui s’enfonce lentement et irrésistiblement dans l’aile gauche de la ligne d’infanterie du Rohan.


Le deuxième géant s’avance alors et englobe de son ombre mortelle le Rohan. De nouveaux tirs s’abattent sur lui mais il ne subit qu’une seule blessure. Les Guerriers de l’Ouestfode, résignés mais résolus, dégagent leurs boucliers et affermissent leurs prises sur leurs épées.

Les Guerriers Mahuds montés sur dromadaires, tels des charognards, suivent les énormes créatures, prêts à achever tout survivant.

Eowyn remonte la ligne. Après avoir détruit la dernière catapulte, elle s’en prend au flanc du Mordor, tue le capitaine Orque qui se dresse devant elle, et chasse les Orques du centre du Mordor.
Plus loin, sa cible l’Innnomable, semble être enfin à la portée de son courroux vengeur.

Mais au nord, la crête blanche d’Eomer menait le grand front des Rohirrim qu’il avait de nouveau ralliés…son visage devint mortellement pâle, et une fureur froide l’envahit…il donna de l’éperon et se lança tête baissée vers le front de la grande armée, sonna du cor et appela d’une voix forte à l’assaut. Sur le champ de bataille retentit sa voix claire criant : « Mort ! Courez, courez à la ruine et à la fin du monde ! »

Là dessus l’armée se mit en mouvement. Mais les Rohirrim ne chantaient plus. « Mort », criaient-ils d’une seule voix puissante et terrible, et prenant de la vitesse, comme une grande marée…elle passa en grondant vers le sud.

Eomer a rejoint les éoreds qui manoeuvrent pour revenir en soutien vers l’infanterie rohirrim. Cette dernière va subir le choc de toute l’attaque des Hommes Mauvais du Sud et va probablement être sévèrement étrillée.

Grimbold décide de tenir le centre du champ de bataille et d’y arrêter le Harad. La Garde Royale prend le flanc droit laissant une éored centrale pour Eomer. Suladan et sa garde d’élite ainsi qu’une autre grande formation de cavaliers haradrim, se dirige droit dessus afin de rompre le front du Rohan. Le Chef du Sud sait que si sa manœuvre est couronnée de succès, il va pouvoir disperser et anéantir l’armée du Bien, prise de flanc par les puissants Mumaks.
Erkenbrand quitte la ligne face au Mordor et chevauche vers le Sud avec plusieurs éored de réserve afin d’aider l’infanterie qui subit l’attaque massive des Mumaks.



Derrière, l’armée des Orientaux emmenée par Khamul et Amdur suivent les traces des Mumaks, alors que les troupes à pieds du Harad et les Corsaires de Dalamyr prennent le flanc gauche du Harad, afin d’opérer la jonction avec le Mordor.

Le cruel chef-Serpent fait enfin face au à Eomer…

Il fut alors rempli d’un courroux sanguinaire ; il cria d’une voix forte et, déployant son étendard, serpent noir sur fond écarlate, il s’élança contre le cheval blanc sur fond vert avec une grande masse d’homme ; et quand les Suderons dégainèrent leurs cimeterres, ce fut comme un étincellement d’étoiles.

La salle retient son souffle alors que le Bien et le Mal déclarent de nombreuses actions Epiques dans ce choc frontal.

Qui du Cheval Blanc ou du Serpent Noir va réussir à charger le front adverse ?

L’Arbitre en chef Xeti fait rouler le dé qui s’immobilise une nouvelle fois en faveur des Hommes du Nord ! ! !

Les Valars protègent le Rohan et lui insufflent la force d’affronter toute la force de Sauron depuis des heures et des heures, déjouant les tactiques maléfiques du Seigneur-Ténébreux.

Dans un duel terrible, aidé par le sacrifice de Merry, Eomer terrasse Suladan, plongeant sa lame dans son cœur noir jusqu’à la garde ! L’unité d’élite du Seigneur-Serpent est anéantie pendant que les cavaliers du Harad subissent de terribles pertes sous les coups des Helmingas de Grimbold !

Grand fut le choc de leur rencontre. Mais la furie blanche des Hommes du Nord était la plus ardente, et leur chevalerie était plus habile avec ses longues lances, et implacable. Ils étaient moins nombreux, mais ils fendirent les rangs des Suderons comme un coup de foudre dans la forêt…sa lance fut brisée comme il jetait leur chef à terre. Son épée jaillit ; il piqua sur l’étendard et fendit hampe et porteur ; et le serpent noir s’effondra.

Eowyn et Elflheim dirigent la ligne montée du Rohan face aux troupes du Mordor qui se rallient désespérément.


Elle crie un défi au Nazful maléfique sur sa monstrueuse monture mais celui-ci n’en a cure, les miasmes ainsi que la malice de son Maître le protègent depuis le début de la bataille. Le Roi-Sorcier et le Sénéchal Noir sont tombés mais la protection de Sauron lui a déjà permis de survivre plusieurs fois aux blessures infligées par le Gondor. Il s’envole négligemment hors de portée.
Le vicieux Gothmog en profite alors pour défier la vierge aux cheveux dorés. Celle-ci bloque de justesse son attaque pendant que les Rodeurs et les Wargs frappent sa formation de toute part, lui faisant subir de lourdes pertes.

Plus au Sud, malgré de nouvelles blessures subies par le deuxième Mumak, l’infanterie rohirrim est décimée par les Mumakils. Les Hommes mauvais font imploser le flanc gauche du Rohan et s’engouffrent par les brèches béantes.


Eomer rejoint Erkenbrand afin de stopper l’élan des Mumaks, pendant que Grimbold continue à tenir héroïquement le centre du Bien, bien qu’il soit pris à partie par la cavalerie Orientale et la charge furieuse d’un Mumak.

…partout où venaient les mumakils, les chevaux refusaient d’avancer et se dérobaient ; et les grands monstres n’étaient pas combattus ; ils se dressaient comme des tours de défense

Plus à droite, les regards féroces des Gardes Royaux, qui s’appuient sur le tertre central, défient les cruels Corsaires de Dalamyr.

Les descendants d’Eorl sont impuissants à rejoindre le flanc gauche du Harad qui va bientôt opérer la jonction avec le Mordor.

Lentement, le Rohan ploie et semble céder. Les hommes de Minas Tirith ont le cœur qui se serre alors qu’ils voient la gigantesque armée du Mal progresser de nouveau vers leur cité.

Ce fut au moment où l’espoir chancelait qu’un nouveau cri monta de la Cité…car ils voyaient, se détachant en noir sur l’eau scintillante, une flotte poussée par le vent. Les Pirates d’Umbar ! crièrent les hommes. Les Pirates d’Umbar ! C’est le dernier coup du destin ! »

Les Rohirrims ne voyaient que trop bien eux-mêmes les voiles noires…Eomer ne se trouvait plus à présent qu’à un mille au plus du Harlond, et une grande presse de ses premiers ennemis le séparait de ce havre alors que de nouveaux ennemis venaient en tournoyant par derrière…

Il gagna donc à cheval une butte verte où il planta sa bannière, et le Cheval Blanc flotta dans le vent…car il était encore possédé par l’ardeur de la bataille ; il était toujours indemne, il était jeune et il était roi : seigneur d’un peuple féroce…il regarda de nouveau les navires noirs et il brandit son épée en signe de défi.

Mais alors l’étonnement le saisit, en même temps…et voilà que sur le navire de tête un grand étendard se déployait, et le vent le fit flotter, tandis que le navire se tournait vers le port du Harlond. Dessus fleurissait un Arbre Blanc, et cela, c’était pour le Gondor ; mais il était entouré de Sept Etoiles et surmonté d’une haute couronne, marque d’Elendil. Et les étoiles flamboyaient au soleil, car elles avaient été ouvrées en gemmes par Arwen, fille d’Elrond ; et la couronne brillait dans le matin, car elle était faite de mithril et d’or.

Ainsi vint Aragorn, fils d’Arathorn, Elessar, héritier d’Isildur, des Chemins des Morts, porté par un vent de la Mer au royaume de Gondor…




Dans la dernière partie, vous verrez le dénouement de cet affrontement gigantesque. Aragorn, les Fiefs du Sud et l’Armée des Morts ont enfin rejoint les Champs du Pellenor sur lesquels leurs alliés rohirrims luttent férocement depuis des heures.

Qui va l’emporter, du Seigneur Ténébreux ou des Peuples Libres ?

dimanche 3 juillet 2011

La Grande Bataille de Notre Temps (2ème partie)


La Grande Bataille de Notre Temps, 2ème partie

L’armée du Rohan s’avança alors en silence dans le champ de Gondor, se déversant avec lenteur et régularité, comme la marée montante par les brèches d’une digue que les hommes croyaient sûre.

La Cité était maintenant proche. Il y avait dans l’air une odeur d’incendie et une véritable ombre de la mort.

Le Roi se tenait sur Nivacrin, immobile, contemplant l’agonie de Minas Tirith, comme soudain frappé d’angoisse ou de peur.

Allait-il fléchir, courber sa tête, se retourner et partir se cacher dans les collines ?

Puis soudain Merry le sentit. Le vent soufflait sur son visage ! La lumière entreluisait. Loin, très loin dans le Sud, des nuages se voyaient faiblement, formes grises reculées qui s’élevaient en volutes et dérivaient : le matin s’étendait au-delà.


La forme courbée du Roi se redressa ; il parut de nouveau grand et fier, et debout sur ses étriers, il cria d’une voix forte, si claire qu’aucun de ceux qui étaient là n’en avait jamais entendu de pareille chez un mortel :

Debout, debout, Cavaliers de Théoden !

Des évènements terribles s’annoncent : feux et massacres !

La lance sera secouée, le bouclier volera en éclats,

Une journée de l’épée, une journée rouge, avant que le soleil ne se lève !

Au galop maintenant, au galop ! A Gondor !

Le Roi cria soudain un ordre à Nivacrin, et le cheval bondit en avant. Derrière Théoden, son étendard flottait au vent : un cheval blanc sur fond vert ; les chevaliers de sa maison galopaient dans un bruit de tonnerre…Le front de la première eored mugissait comme les flots déferlant sur la grève ; mais Théoden ne pouvait être gagné de vitesse. La fureur de la bataille de ses pères courait comme un nouveau feu dans ses veines, et il était porté par Nivacrin comme un dieu de jadis, voire même comme Oromë le Grand à la bataille de Valar, quand le monde était jeune.


La Charge des Rohirrim

La Garde de Théoden galope comme l’éclair vers le front central du Mordor.. Sur sa droite Les Cavaliers de l’Ouestfolde, emmenés par Erkenbrand. Les rapides Cavaliers d’Elfhleim s’élancent pour occuper l’aile à gauche du Roi. Suivant L’Ost Royal, plusieurs grandes éored menées par Eomer.

L’infanterie, constituée des Guerriers de l’Ouestfolde, menés par Grimbold et la Garde Royale à pied, couvrent les arrières de la cavalerie du Nord, soutenue par quelques éclaireurs, pendant qu’une éored, où se trouve le jeune Merry, l’écuyer du Roi se dirige vers l’extrême gauche, constituant un pivot entre la cavalerie et l’infanterie.

Dissimulée parmi les hommes d’Erkenbrand, se trouve Eowyn, la nièce du roi et sœur d’Eomer.

A la Mort ! A la Mort !

L’attaque est dévastatrice pour le Mordor.

Théoden et Erkenbrand détruisent les balistes et la formation de Grishnak.

Puis leurs charges les amènent respectivement sur la cavalerie Warg qui protège les arrières de la grande formation du Gorgoroth où se trouve Gothmog, et sur une autre formation d’Orque. Le Rohan défile autour des catapultes ennemies alors que la deuxième lame de fond va s’abattre sur elles. Un troll est blessé par un javelot lancé avec force.

Les Wargs sont chassés, Gamling tuant de sa main leur leader, et les Orques mis à mal. Le centre du Mordor semble ébranlé alors que son flanc droit est au bord de la rupture.

A l’intérieur du mur, le Gondor forme un dernier carré face à la Légion Noire. Les chevaliers de Dol Amroth sont chargés par les Orques du Morannon, un Troll et le Sénéchal Noir. Les chevaliers sont pratiquement anéantis mais leur capitaine terrasse le Sénéchal en combat singulier !

Les joueurs du Mal ont des frissons dans le dos face à la furia des hommes du Nord.

Ils décident de faire dérouter les Wargs (qui sont détruits sur cette action) afin de pouvoir affronter Théoden et sa Garde avec l’Ost du Gorgoroth (formé de 18 compagnies lourdement équipées). Ils misent sur les Trolls servants les engins de siège pour arrêter l’assaut de l’aile droite.

L’initiative va être décisive. Les javelots du Rohan percent alors le cœur du Troll qui semblait pouvoir briser la jonction centrale entre Théoden et Erkenbrand. Le flanc droit du Mal est alors totalement à nu et seul le deuxième Troll peut retarder l’échéance. Mais Erkenbrand l’a dépassé et une autre formation tueur de monstre lui fonce dessus.

Les Valars ont décidés d’accorder leur protection au Cheval Blanc et le Rohan charge puissamment l’Ost du Gorgoroth !

La vitesse des cavaliers d’Elfheim leur permet également d’engager la deuxième formation de Wargs sur le flanc gauche. Erkenbrand et ses hommes chargent les Orques mais le Troll se décide à s’en prendre à ses arrières.

Le combat est implacable. A gauche Elfheim recule, n’ayant pas réussi à briser la formation de Wargs. A droite Erkenbrand met aux abois les Orques pendant que le Troll désarçonne plusieurs cavaliers.

Les Orques décident de s’emparer de leurs armes à 2 mains contre la Garde du Roi, renonçant à toute protection. A une perte près, ils réussissent à anéantir la Garde !

Théoden est tombé au champ d’honneur mais les orques ont encaissés la perte de 8 compagnies. Démoralisés ils se font charger derechef et perdent encore 3 compagnies.

La formation du Gorgoroth semble étrillée et les joueurs du Mal voient leur ligne de bataille s’amincir considérablement car la Légion Noire est restée dans la première enceinte pour achever les derniers défenseurs. Une poignée de soldats Gondoriens s’enfuient vers le deuxième niveau et s’adossent à la porte. Le Mal pille et brûle la première enceinte et se contente d’envoyer un Troll à la poursuite de la poignée de survivants.

Dehors l’assaut du Rohan est brutal et le moral du Mal s’en ressent. Gothmog fuit vers la formation de Wargs qui retraite. L’Ost du Gorgoroth reste démoralisé face à la deuxième lame qui lui arrive droit dessus. Quelques formations d’Orques tentent de reformer une ligne de défense.

Excepté la perte cruelle du Roi et ses chevaliers, les formations de cavaliers du Rohan restent opérationnelles et très dangereuses, ayant essuyées peu de pertes jusqu’alors.

Le Troll est enfin abattu, Eowyn s’étant révélée et ayant pris le commandement de l’éored qui suit Erkenbrand. Celui-ci en finit avec les Orques pendant qu’Eowyn charge irrésistiblement les catapultes, en détruisant une.

Le flanc droit du Mordor est détruit et le Rohan opère un mouvement tournant pour remonter en enfilade les formations d’Orques.

Eomer rendu berserk par la mort de Théoden, achève en compagnie d’Elfhleim l’Ost du Gorgoroth. Seule une ligne élastique se tient encore entre les murs de la Cité Blanche et la colère des hommes du Nord.

Le Mal replie ses troupes du flanc gauche et décide de renvoyer les Trolls à l’extérieur de la première enceinte. Les Orques du Morannon prennent position sur les murs mais semblent hésiter à abandonner leur protection face aux formations déchaînées rohirrim.

Le Troll glisse dans la pente. Les 10 soldats du Gondor regardent avec angoisse sa progression. Il n’y a plus qu’eux entre les soldats de l’Oeil et la population civile qui s’est réfugiée aux niveaux supérieurs.

Le Rohan charge à nouveau tel le tonnerre. Le dernier engin de siège est détruit et les formations centrales essuient encore de lourdes pertes.

Le dernier Nazgul, l’Innomable, s’envole vers Gothmog et ses Wargs.

Plus loin sur la plaine, l’infanterie du Rohan continue à avancer, mais la ligne du Nord s’étire, sa cavalerie engagée dans les lointains combats près des murs.

L’éored de Merry défile à gauche du tertre où sont dissimulés quelques Rodeurs de Morgul qui n’osent sortir de leur abri.

Le Mordor est en limite de rupture et est impuissant à prendre l’initiative tactique. Le flanc gauche du Mordor a des ennemis sur tout son front et risque d’être pris en tenaille par l’attaque des cavaliers de l’Ouestfolde.

Un vent de panique souffle sur les troupes survivantes du Mal. Il semble bien que ce ne soit qu’une question de temps avant qu’ils ne soient tous exterminés.

…les ténèbres se dispersèrent ; les hommes de Mordor gémirent et la terreur s’empara d’eux ; ils s’enfuirent, et moururent, et les sabots de la colère passèrent sur eux. Alors toute l’armée du Rohan éclata en chants ; les hommes chantaient tout en massacrant, car la joie de la bataille était en eux, et le son de leur chant, qui était beau et terrible, parvint jusqu’à la Cité.

BRRRMMM !

BRRRMMM !

A peu près toute la moitié Nord du Pelennor était emportée et les camps flambaient, les orques fuyaient vers le fleuve comme des hardes devant les chasseurs ; et les Rohirrim allaient de côté et d’autre à leur gré.

Mais ils n’avaient pas encore réduit le siège ni pris la Porte.. De nombreux ennemis se tenaient devant, et d’autres armées encore intactes occupaient l’autre moitié de la plaine. Au Sud, au-delà de la route, se trouvait la force principale des Haradrim, et leurs cavaliers étaient assemblés là autour de l’étendard de leur chef…

Dans la 3ème partie, vous verrez le Rohan, seul face aux troupes du Mal, affronter le Harad dans un choc effroyable et continuer à faire face au Mordor.

Bientôt la suite de cette bataille décisive pour la Terre du Milieu.